c'est lundi que lisez-vous?·lecture

C’est lundi, que lisez-vous ? #27

Coucou, comme chaque lundi (ou presque), on se retrouve pour c’est lundi, que lisez-vous ? . Le rdv est proposé par Les Paravers de Millina.

Je suis rentrée de vacances très reposantes pendant lesquelles j’ai beaucoup lu (beaucoup pour moi, peut-être pas pour vous haha) et j’ai quand même pu bien avancer dans ma PAL.

Lectures terminées

Famille, ambiance animée, repas festifs… Non, ce n’est pas le scénario d’un film de Noël, mais celui des fêtes de fin d’année pour Tina. Enfin, d’habitude.
En effet, cette année, elle a prévu un autre programme. Un programme télévisé. Films de Noël, chocolats et calme plat, c’est exactement ce dont elle a besoin en ce moment. Et puis, c’est encore plus amusant de regarder des films de Noël que de les vivre. Vraiment ? Dans ce cas, elle aurait peut-être dû accrocher un écriteau à sa porte: Ne pas déranger – Ourse en hibernation.
Cela aurait évité que son programme ne soit perturbé par l’irruption d’un voisin maladroit.

Un coup de coeur!

Paulette a 85 ans, un caractère bien trempé, et pas toute sa tête. Enfin, à ce qu’elle prétend. Lorsqu’elle se retrouve bien malgré elle la nouvelle pensionnaire de l’Auberge de Monsieur Yvon, elle n’a qu’une obsession : en partir ! Mais c’est sans compter sur l’étrange fascination que les autres habitants et leurs secrets vont bientôt exercer sur elle.

Que contiennent ces lettres mystérieuses trouvées dans la chambre de Monsieur Georges ? Qui est l’auteur de ce carnet abandonné dans la bibliothèque ? Une chose est certaine : Paulette est loin d’imaginer que ces rencontres vont changer sa vie et peut-être, enfin, lui donner un sens.

Des morceaux de vie qui enchantent, des chagrins, des joies, des confidences. Un roman tendre et lumineux qui nous parle d’amour et d’amitié à l’heure où on ne s’y attend plus. Un roman qui fait aimer la vie.

Un roman touchant et agréable à lire

Lectures en cours

New-York, 1968. Pour Georgette George, la narratrice, l’entrée à l’Université est une véritable libération, presqu’un soulagement. Elle laisse derrière elle une petite ville ravagée par la crise économique, une mère envahissante, des hommes violents et une famille désunie. Sur le campus, sa colocataire, Ann Drayton, vient d’un tout autre horizon. Dès son plus jeune âge, elle a connu le luxe, les cours d’équitation, les voyages en Europe. Mais, tout comme Georgette, elle rejette son milieu d’origine, ses parents, son vrai prénom (Dooley qu’elle juge trop « sudiste » et « esclavagiste ») et son pays : « nous voulons que l’Amérique regarde ses crimes en face » explique-t-elle avec rage. Même cette colocation est le résultat de son engagement politique : Ann a demandé à vivre avec une étudiante issue d’un milieu modeste, bénéficiant d’une bourse. Entre les deux jeunes filles, c’est le début d’une amitié passionnée, placée sous le signe d’une influence mutuelle.

Je n’accroche pas et je n’arrive pas à le finir.

Allemagne, 1944. Malgré les restrictions, les pâtisseries fument à la boulangerie Schmidt. Entre ses parents patriotes, sa sœur volontaire au Lebensborn et son prétendant haut placé dans l’armée nazie, la jeune Elsie, 16 ans, vit de cannelle et d’insouciance. Jusqu’à cette nuit de Noël, où vient toquer à sa porte un petit garçon juif, échappé des camps …
Soixante ans plus tard, au Texas, la journaliste Reba Adams passe devant la vitrine d’une pâtisserie allemande, celle d’Elsie … Et le reportage qu’elle prépare n’est rien en comparaison de la leçon de vie qu’elle s’apprête à recevoir.

Une lecture forte

Prochaine lecture

Alice en a marre du sexisme. De l’hypocrisie de la société. Des femmes en soutien-gorge sur les publicités. Des féminicides.

Et aussi de la canicule, des incendies, de la pollution, de l’incompétence des politiques, des déchets, de la destruction de la planète…

Quand elle se réveille métamorphosée en homme, un matin de juin, elle ne saisit pas le lien. Mais elle comprendra vite que ce changement ne concerne pas qu’elle, loin de là.

Un nouveau monde est en route. Bonne nouvelle, il semble moins stupide et cruel que l’ancien.

Manifestement, les limaces avaient tout compris.

Et vous, que lisez-vous ?

Des bisous,

Lise

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